Auteur/autrice : ML F

Cuba, mode de vie unique au Nouveau Monde ! Ses kilomètres de plages, baignées par des récifs coralliens interminables, ont la couleur de la nacre, ses chaînes de montagnes se teintent du vert profond des forêts tropicales, ses villes se parent d’une architecture hispano-coloniale aux couleurs souvent débridées, et son peuple, comme aspiré dans une parenthèse temporelle, entre belles américaines, carrioles et calèches, ne lasse pas de séduire.
Le passé a laissé sa marque remarquable dans la vieille Havane, au centre historique classé au Patrimoine mondial de l’humanité par l’Unesco, mais aussi à Cienfuegos, Trinidad et, dans une moindre mesure, à Santiago et Camagüey…

À l’heure du boom touristique, Cuba reste une destination pas comme les autres, distillant non seulement du rhum, mais aussi une atmosphère très particulière, où se mêlent tout à la fois la difficulté et la joie de vivre, le présent et le passé. On vient goûter à la chaleur, à la gentillesse et à la désinvolture du peuple cubain qui, s’il a perdu son idéal, n’a jamais perdu ni l’espoir ni le sourire.

 

POURQUOI voyager à CUBA 

•  Pour son architecture coloniale des villes encore dans leur « jus » : la Havane et plus particulièrement Trinidad. Ce sont des villes sublimes avec des édifices coloniaux, de magnifiques places parfaitement rénovées, la vie dans les rues, etc..

 

•  Pour ses paysages variés. A noter les paysages uniques de la vallée de Vinales qui est classée au patrimoine mondial de l’UNESCO : les mogotes, les plantations de tabac dans cette terre si rouge.

 

•  Pour sa culture indéniablement préservée : la culture du cigare qui fait partie des meilleurs du monde. Vers Pinar del rio, les terres sont particulièrement fertiles pour la culture du tabac. La culture du rhum et son histoire tumultueuse. Le Mojito, le Cuba Libre et le Daiquiri sont tous originaires de ce pays et peuvent être trouvés presque partout. Trouver le meilleur est un défi que beaucoup de visiteurs choisissent de relever.

 

•  Pour ses plages de sable blanc avec plus de 5 700 km de côtes, le soleil et la mer transparente.

 

•  Pour son ambiance bien particulière avec le sentiment que le temps s’est arrêté : peu de voitures, pas de publicité, une vie économique au ralenti et quasiment en autarcie. Pour son ambiance en lien avec son histoire et ses légendaires révolutionnaires : Le Che (véritable icone). Les belles américaines ont un moteur dans le ventre. Cuba est le pays qui compte le plus de vieilles berlines des années 50 en dehors de USA.

 

•  Pour la musique cubaine qui est mondialement reconnue. Cette musique n’est pas simplement une distraction pour les voyageurs mais une réalité quotidienne pour les cubains. Cuba est le berceau de nombreuses influences musicales résultat d’un métissage venu d’Europe, d’Asie, d’Afrique et des Amériques.

 

•  Pour la population et sa gaité, l’ambiance dans la rue, dans les cafés des petites ruelles de la Havane et de Trinidad.

UN PAYS PLEIN DE CONTRADICTIONS ET DEROUTANT POUR NOUS 

 

•  Les réceptifs à Cuba sont des réceptifs d’état et ne sont pas indépendants. Nous avons l’obligation de travailler avec l’une de ces entités. Etant des organismes d’état, les réceptifs se doivent d’appliquer à la lettre toutes les demandes du Mintur (ministère du tourisme) et par exemple, même lorsque les réservations sont scellées depuis un bon moment. Il peut arriver que le groupe soit délogé dans un autre hôtel de catégorie supérieure ou inférieure.

 

• La classification des hôtels est propre au pays et très nettement en dessous des normes internationales. Les prix sont quant à eux aussi filants que les étoiles. Le rapport qualité prix est souvent déroutant par rapport à ce que l’on connait.

 

• L’embargo   crée des problèmes d’approvisionnement et l’autarcie impose certains aliments lorsque c’est la saison, au risque de manger la même chose plusieurs jours de suite.

 

•  Les cubains sont conditionnés dans leur quotidien. Le salaire moyen est d’environ   25 € par mois (que l’on soit avocat ou que l’on travaille à l’usine). Le gouvernement met à disposition un logement, les soins sont gratuits (pas les médicaments), l’éducation est accessible à tous, un carnet de nourriture par personne ou par famille est donné en fin de mois.